espoir, repos, rechute...
On peut facilement replonger.
Facilement et plus encore.
Sans forcément le chercher, ni encore moins le vouloir.
Prise dans un tourbillon d'activités n'ayant même plus le temps de reprendre sa respiration on espère qu'il nous emmène le plus loin possible afin de prendre congé de la déprime mais finalement il suffit d'un rien pour nous déstabiliser, et je dis un rien qui est plutôt gros en fait. Parfois il nous en faut beaucoup, et parfois on en a déjà beaucoup que le moindre rajout nous fait nous perdre nos moyens.
On se perd, on bascule, on tangue et on tombe.
On va se relever oui, mais quand? et comment va-t-on se retrouver encore?
Ca commençe à être plus que suffisant. Plus qu'assez ça a dépassé les bornes des plus lointaines limites que j'ai pu me donner, ou pas, que j'ai dû avoir, ou pas.
Peut-être est-ce le contre-coup, la fatigue, c'est si facile de mettre sur untel compte pour se débarasser du vrai problème au fond, ou bien peut-être avons-nous baigner dans des illusions sadiques, peut-être que c'est un mal pour un bien..il y a tellement d'hypothèses et souvent si peu de réponses malgré ce qu'on pense.
Quoiqu'il en soit la douleur perdure toujours elle n'a encore pas cessé d'exister.
Et bien décidée à me mener la vie difficile.